dimanche 29 novembre 2009

Moorea Tour



Pour aider :


(Clic clic des photos de l'article pour le fun...)


La semaine de travail se termine et enfin le week end !
Cette ballade devait se faire semaine passée mais le temps étant plus que mauvais nous avons testé le musée de Tahiti (article à suivre). Mais cette semaine, le soleil est de retour, donc ce sera samedi à Moorea pour un Moorea Tour (en clair le tour de l'île soit 60 km) ...

Réveil 5h00 (comme d'habitude !)
Les préparatifs du matin et nous voilà parti à 6h00.




Moorea étant une destination habituelle pour les Tahitiens (seul un bras de mer et 17 km nous sépare), le ferry que nous devions prendre avec la voiture est plein ! Le suivant idem !! Pour les places assises pas de problème mais la voiture...
Petit coup de fil a une agence de location à Moorea et voilà que nous avons maintenant une voiture. Nous laissons donc notre "titine chinoise" au port de Papeete et embarquons, chargés comme des mules, sur le bateau.




Arrivée à Moorea au port de Vaiare : la voiture nous attend (celle commandée 1h00 avant).

Après un court passage dans un de mes centres de dialyse situé à Moorea côte Est (histoire de dire bonjour à mon infirmière en poste et de présenter les lieux au filles), nous voilà en route.
Direction le grand nord de Moorea (attention les Ch'ti, lunettes de soleil et crême obligatoires).

Nous découvrons pour commencer de jolies vue du lagon et de chez nous au loin (Tahiti).


La plage de Temae faisant face à Tahiti,

Puis s'ouvre la Baie de Cook.









Puis la baie d'Opunohu :








Au passage un petit détour par le grand hôtel Intercontinental pour une visite du dolphinarium , du centre de soins aux tortues marines vertes, et surtout pour un petit cocktail en famille dans un jolie cadre (au programme Pina Colada, coktail de fruits frais et amuses bouches)...








La journée passe au fil de notre mini (60 km de tour Moorea) périple. Nous découvrons végétation luxuriante au vert émeraude de la montagne contrastant aux bleus magiques des différents lagons.


Quelques pauses estomacs rassasiées par les victuailles emmenés dans la glacière,


De ci de là, au gré de nos arrêts, Mathilde se lance dans le sport national (en plus des courses de pirogues) : le surf !!
Les débuts sont chaotiques mais prometteurs... à vous de juger :






De notre côté, Karine améliore sa technique de plongée alors que moi je continue ma chasse aux poissons inconnus. Je posterais un bel article sur le baliste Picasso. Ce joli poisson m'a coûté un bel hématome sur le mollet. Voulant défendre sa patate de corail, il s'est mis en tête de me chasser et m'a, à plusieurs reprises, attaqué et pincé le mollet. Aussi beau que peste ce poisson !
Bien entendu, Mathilde se joint aussi avec sa maman au plaisir du PMT (palmes/masques/tuba) :




Riche de ce périple, nous rentrons le soir exténués et rougis.
Moorea, surnommée l'île magique à juste titre, nous a offert un peu de ses secrets. Mais nous savons déjà que nous allons y retourner car les endroits sont superbes et l'intérieur de l'île nous est encore totalement inconnu..

Donc à suivre !

mercredi 25 novembre 2009

La baleine à Bosses

Parce qu'il y a des moments magiques,
Parce que dans ces moments là on prend conscience que nous sommes tout petit,
Parce que nous avons tous une âme d'enfant,
Parce que la terre et la mer sont les seuls repères ici,

Il y a des rencontres que nous ne pouvons oublier...

De mi juin à mi septembre, entre Tahiti et Moorea, il y a les baleines à bosses.

Celles ci, après s'être gavées de poissons dans le grand nord, traversent les océans pour finir ici et mettre bat.
Dans nos eaux chaudes et cristallines mais dépourvues de plancton, elles jeûnent mais élèvent leur baleineau. Au loin, les mâles chantent et effectuent des bonds spectaculaires.
En effet, ces eaux sont dépourvues des prédateurs et apportent la sécurité nécessaire au développement des petits.

En septembre ma rencontre commence par un chèque de 7000 francs pacifique (60 euros).
Un court trajet de bateau........ et elles sont là...

Le bateau s'arrête à une 50 de mètres, un peu de masque/palmes/tuba et elle sont là, au bout des doigts !
Le baleineau joue avec vous, la mère, une dizaine de mètre en dessous, vous observe de son oeil bienveillant mais suspect.

Le contact est magique...

Je suis là et elles aussi !

L'article s'arrête ainsi car aucuns mots ne peuvent décrire ces moments uniques...
Merci à elles d'avoir été là et de m'avoir permis cela.
















Et en 2011, la suite :

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